Bouillon de culture


Samedi 4 Juillet 2015

Bouillon de culture
Julio Iglesias
 Le crooner espagnol Julio Iglesias a été opéré du dos la semaine passée à New York et est actuellement en convalescence, a annoncé sa maison de disques Sony Music. “Julio Iglesias a subi la semaine passée une petite intervention médicale au niveau des lombaires, au cours d’un examen de routine à New York. Il  reprendra toutes ses activités après une période de repos recommandée par les médecins”, a précisé Sony Music. Âgé de 71 ans, le célèbre chanteur de charme a été fait docteur “honoris causa” du prestigieux Berklee College of Music de Boston en mai dernier, selon son site Internet officiel. Julio Iglesias, père également du très célèbre chanteur Enrique Iglesias, a vendu plus de 300 millions de disques tout au long de sa carrière, selon Sony.

Exposition
Le vernissage d’une exposition de l’artiste Ataallah Chems-Eddoha se tiendra, le 28 juillet, à la Villa des arts de Casablanca (19h00), indique la  Fondation ONA dans son livret du programme de juillet-août-septembre 2015. Dans cette exposition, qui se poursuit jusqu’au 17 août, Chems “mine de  rien, en filigrane, tout en douceur, loin de toute clameur militante et de  tout tapage revendicatif, arrive contre vent et marée à réaliser une double  intégration : intégrer le rôle axial de la femme dans le processus de développement social et culturel, intégrer la peinture parmi les activités productives de sens et montrer ainsi à quel point l’ouvrage pictural est capable de révéler notre présence dans le monde au même titre que l’écriture ou le sacré”, indique la Fondation ONA dans un communiqué, citant le critique d’art Mstafa Chebbak. Le parcours de Chems Eddoha s’inscrit dans “cette relation indéfectible entre être et œuvrer”, ajoute-t-il. Après plus d’un demi-siècle de labeur et d’efforts, Chems “a pu en en effet  réaliser deux nobles finalités : réhabiliter le rôle de la femme dans le  processus de la création esthétique dans une société encore empêtrée dans ses  apories patriarcales”, rappelle la fondation. Il s’agit également pour cette artiste d’ “intégrer la création picturale dans le corpus des activités signifiantes à l’orée du Maroc postcolonial où la peinture était encore non seulement inconnue ou méconnue mais méprisée et rejetée”, ajoute-t-il.


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