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Le court métrage brésilien "B-Flat" de Mariana Youssef a remporté, samedi soir, le Grand prix de la 4ème édition du Cap Spartel Film Festival. "Ce prix vient récompenser la valeur artistique importante et la plus grande dimension humaine de cette œuvre cinématographique", a indiqué le président du jury, le critique de cinéma iranien, Parwiz Jahed.
Le prix de la réalisation est revenu au court métrage "Building 13" du réalisateur iranien, Amir Gholami, pour son contenu poétique consistant et son surréalisme créatif, alors que la mention spéciale du jury a été attribuée ex-aequo à "Tra le dita requited love" de la réalisatrice italienne, Cristina Ki Casini, et à "Ailleurs" du réalisateur marocain, Othman Naciri.
Le court-métrage français "Soury" (Syrien), du réalisateur Christophe Switzer, s'est vu décerner le prix de la presse et de la critique, alors que la mention spéciale du jury a été attribuée au réalisateur espagnol Ivan Fernandez De Cordoba pour son film "A place". Dans la catégorie des films de jeunes, le Grand prix a été attribué à "Infini" du jeune réalisateur tangérois, Mohamed Reda Kouzi, alors que ceux du meilleur scénario et de la réalisation ont été décernés respectivement à "La danse de la mort" d’Atika Elakel (Témara), et à "Sieste" de Yassin Erraihani (Agadir).
La cérémonie de clôture du festival a, par ailleurs, été ponctuée d'un vibrant hommage rendu à l'une des figures emblématiques du cinéma marocain, en l’occurrence le réalisateur Hamid Benani, en reconnaissance de sa contribution à l'enrichissement de la scène artistique marocaine et la bibliographie cinématographique nationale et arabe. Outre son premier long métrage "Wechma" (1970), qui est reconnu de notoriété inégalée et le fondateur de la cinématographie marocaine, Hamid Benani compte à son actif plusieurs autres œuvres, dont "La Prière de l'absent" et "L’Enfant cheikh".
Le prix de la réalisation est revenu au court métrage "Building 13" du réalisateur iranien, Amir Gholami, pour son contenu poétique consistant et son surréalisme créatif, alors que la mention spéciale du jury a été attribuée ex-aequo à "Tra le dita requited love" de la réalisatrice italienne, Cristina Ki Casini, et à "Ailleurs" du réalisateur marocain, Othman Naciri.
Le court-métrage français "Soury" (Syrien), du réalisateur Christophe Switzer, s'est vu décerner le prix de la presse et de la critique, alors que la mention spéciale du jury a été attribuée au réalisateur espagnol Ivan Fernandez De Cordoba pour son film "A place". Dans la catégorie des films de jeunes, le Grand prix a été attribué à "Infini" du jeune réalisateur tangérois, Mohamed Reda Kouzi, alors que ceux du meilleur scénario et de la réalisation ont été décernés respectivement à "La danse de la mort" d’Atika Elakel (Témara), et à "Sieste" de Yassin Erraihani (Agadir).
La cérémonie de clôture du festival a, par ailleurs, été ponctuée d'un vibrant hommage rendu à l'une des figures emblématiques du cinéma marocain, en l’occurrence le réalisateur Hamid Benani, en reconnaissance de sa contribution à l'enrichissement de la scène artistique marocaine et la bibliographie cinématographique nationale et arabe. Outre son premier long métrage "Wechma" (1970), qui est reconnu de notoriété inégalée et le fondateur de la cinématographie marocaine, Hamid Benani compte à son actif plusieurs autres œuvres, dont "La Prière de l'absent" et "L’Enfant cheikh".