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C’est devant des milliers de personnes que le chanteur populaire amazigh s’est produit, samedi soir, à Zagora.
Le joli parc installé dans la palmeraie mitoyenne de la rivière de Draâ a vécu une soirée haute en couleur. De l’Ahidous d’Afella N’Draa, à celui de Kelâat Mgouna avec la célèbre danse d’abeille à Mustapha Oumguil et ses chansons. Le public a vibré près de trois heures bravant le froid qui sévit dans la région. Seul le parc de la ville connaissait une chaleur particulière.
A la faveur des airs d’un violon envoûtant, d’une voix forte et pénétrante, l’artiste a émerveillé le public dont le nombre a triplé juste après la fin du match de l’équipe nationale contre l’Angola. Avec les danseuses habillées en jaune, le spectacle était à son paroxysme. Les refrains repris sans faute, les bannières amazighes avec leurs magnifiques couleurs, hissées par les jeunes, donnaient à cette fête un aspect symbolique significatif. Sur scène comme dans les gradins, l’ambiance était bon enfant.
Zagora, la ville multiethnique et multiculturelle par excellence, retrouvait fièrement ses fondements culturels et civilisationnels. «La section d’Azetta de Zagora se compose non seulement de personnes d’origine amazighe, mais également d’autres cultures de la vallée de Draâ. La question ici revêt surtout un sens démocratique certain», a souligné Mohamed Oulahcen, président d’Azetta-Zagora.
Le joli parc installé dans la palmeraie mitoyenne de la rivière de Draâ a vécu une soirée haute en couleur. De l’Ahidous d’Afella N’Draa, à celui de Kelâat Mgouna avec la célèbre danse d’abeille à Mustapha Oumguil et ses chansons. Le public a vibré près de trois heures bravant le froid qui sévit dans la région. Seul le parc de la ville connaissait une chaleur particulière.
A la faveur des airs d’un violon envoûtant, d’une voix forte et pénétrante, l’artiste a émerveillé le public dont le nombre a triplé juste après la fin du match de l’équipe nationale contre l’Angola. Avec les danseuses habillées en jaune, le spectacle était à son paroxysme. Les refrains repris sans faute, les bannières amazighes avec leurs magnifiques couleurs, hissées par les jeunes, donnaient à cette fête un aspect symbolique significatif. Sur scène comme dans les gradins, l’ambiance était bon enfant.
Zagora, la ville multiethnique et multiculturelle par excellence, retrouvait fièrement ses fondements culturels et civilisationnels. «La section d’Azetta de Zagora se compose non seulement de personnes d’origine amazighe, mais également d’autres cultures de la vallée de Draâ. La question ici revêt surtout un sens démocratique certain», a souligné Mohamed Oulahcen, président d’Azetta-Zagora.