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Le maintien de la confiance en l’action de la société civile et sa capacité à rendre les citoyens plus responsables écologiquement est l’un des éléments clé de la réussite de la COP22 qui aura lieu du 7 au 18 novembre à Marrakech, a indiqué, récemment à Rabat, le président de la COP20 de Lima, Manuel Pulgar-Vidal.
M. Vidal, qui intervenait lors d'une journée climat, initiée conjointement par l’Institut français du Maroc et l’ambassade de France à Rabat, a indiqué que les secteurs public et privé, ainsi que la société civile sont appelés à travailler main dans la main en vue de réussir cet événement d’envergure.
Par ailleurs, M. Vidal a fait remarquer que le défi pour le Maroc demeure immense dans la mesure où il doit démontrer que l’accord de Paris peut être mis en œuvre d’une manière efficace et effective.
"C’est lors de la réunion de Marrakech que vont commencer, pour la première fois, les mécanismes de l’accord de Paris d’une manière concrète", a-t-il rappelé, ajoutant que la mise en œuvre de l’accord de Paris "signifie mettre en œuvre toute cette nouvelle approche au niveau mondial".
Selon le président de la COP20, l’adaptation demeure un élément clé pour la réalisation du développement. "Il faut se focaliser sur l’adaptation pour que nos économies soient plus résilientes aux changements climatiques", a-t-il dit.
De son côté, le chef de pôle de la société civile de la COP22, Driss El Yazami, a rappelé qu’une série d’activités ont été initiées en prélude de la COP22, dont notamment les Pré-Cop régionales à Oujda, El Jadida, et prochainement à Rabat-Kénitra et Béni Mellal.
De même, des efforts ont été déployés pour la mise en réseau de différentes composantes de la société civile et en vue d’agir pour la territorialisation de la question climatique.
"Nous réunissons sur la même table des conseillers régionaux, des universitaires, du monde de l’entreprise, ainsi que la société civile, pour tracer les grandes lignes d’un plan régional d’action environnementale", a-t-il souligné. Pour sa part, l’ambassadeur de France au Maroc, Jean-François Girault, a fait savoir que cette journée climat, initiée sous le thème "Le climat change et nous ?", permet de réunir dans une plateforme, dépassant celles des institutions, plus de 50 ONG marocaines et françaises.
La France et le Maroc, qui travaillent de façon étroite pour la transmission du flambeau de la COP 21 à la COP 22, sont directement concernés par l’implication de la société civile, a-t-il relevé, ajoutant que l’accord de Paris va bien au-delà de l’action du gouvernement, il est l’accord de tous.
L’accord de Paris est un accord universel, et grâce à la décision de l’Inde qui doit le ratifier, nous pourrons à l’occasion de la COP22, voir son entrée en vigueur, puisque le double seuil de 55-55 sera dépassé, a-t-il estimé, ajoutant que la COP22 sera un grand succès pour le Maroc, pour la coopération franco-marocaine et pour le monde.
Même son de cloche chez Stéphanie Lux, conseillère en charge des relations avec les ONG au sein du cabinet de la ministre française de l’Environnement, qui a souligné que le Maroc, qui a placé sa COP sous le signe de l’action, aura à gagner en travaillant étroitement avec l’ensemble des composantes de la société civile.
M. Vidal, qui intervenait lors d'une journée climat, initiée conjointement par l’Institut français du Maroc et l’ambassade de France à Rabat, a indiqué que les secteurs public et privé, ainsi que la société civile sont appelés à travailler main dans la main en vue de réussir cet événement d’envergure.
Par ailleurs, M. Vidal a fait remarquer que le défi pour le Maroc demeure immense dans la mesure où il doit démontrer que l’accord de Paris peut être mis en œuvre d’une manière efficace et effective.
"C’est lors de la réunion de Marrakech que vont commencer, pour la première fois, les mécanismes de l’accord de Paris d’une manière concrète", a-t-il rappelé, ajoutant que la mise en œuvre de l’accord de Paris "signifie mettre en œuvre toute cette nouvelle approche au niveau mondial".
Selon le président de la COP20, l’adaptation demeure un élément clé pour la réalisation du développement. "Il faut se focaliser sur l’adaptation pour que nos économies soient plus résilientes aux changements climatiques", a-t-il dit.
De son côté, le chef de pôle de la société civile de la COP22, Driss El Yazami, a rappelé qu’une série d’activités ont été initiées en prélude de la COP22, dont notamment les Pré-Cop régionales à Oujda, El Jadida, et prochainement à Rabat-Kénitra et Béni Mellal.
De même, des efforts ont été déployés pour la mise en réseau de différentes composantes de la société civile et en vue d’agir pour la territorialisation de la question climatique.
"Nous réunissons sur la même table des conseillers régionaux, des universitaires, du monde de l’entreprise, ainsi que la société civile, pour tracer les grandes lignes d’un plan régional d’action environnementale", a-t-il souligné. Pour sa part, l’ambassadeur de France au Maroc, Jean-François Girault, a fait savoir que cette journée climat, initiée sous le thème "Le climat change et nous ?", permet de réunir dans une plateforme, dépassant celles des institutions, plus de 50 ONG marocaines et françaises.
La France et le Maroc, qui travaillent de façon étroite pour la transmission du flambeau de la COP 21 à la COP 22, sont directement concernés par l’implication de la société civile, a-t-il relevé, ajoutant que l’accord de Paris va bien au-delà de l’action du gouvernement, il est l’accord de tous.
L’accord de Paris est un accord universel, et grâce à la décision de l’Inde qui doit le ratifier, nous pourrons à l’occasion de la COP22, voir son entrée en vigueur, puisque le double seuil de 55-55 sera dépassé, a-t-il estimé, ajoutant que la COP22 sera un grand succès pour le Maroc, pour la coopération franco-marocaine et pour le monde.
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