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Les travaux de la quatrième édition du Forum de la mer se sont poursuivis, jeudi 5, à El Jadida, après une soirée inaugurale d’emblée riche en enseignements.
Des échanges et débats très instructifs sur les préoccupations environnementales actuelles et futures ont dominé cette journée, dans la sérénité et la rigueur imposées par les thématiques abordées lors de cette rencontre internationale.
Deux ateliers et deux conférences ont ponctué cette journée qui a vu se succéder une vingtaine d’intervenants. Ces derniers ont partagé leurs points de vue sur les questions en rapport avec les mers et les océans et formulé des vœux pour l’avenir de l’humanité.
Experts, universitaires, responsables d’institutions publiques et privées, acteurs associatifs et même un élève ont animé les différents débats prévus à cette occasion. Articulés autour des thématiques à l’ordre du jour, ceux-ci ont notamment porté sur l’urgence de changer nos modèles économiques, nos façons d’échanger et nos modes de pensée.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que les intervenants ont fait preuve de pédagogie, expliquant devant un public nombreux et curieux la situation dans laquelle se trouveraient demain les mers et les océans si des efforts n’étaient pas faits.
Les communications de cette journée ont aussi permis à l’assistance de se faire une idée sur les études et les expériences menées à travers le monde pour mieux comprendre l’océan et surtout mesurer les dangers que court l’humanité faute d’attitude responsable.
Lors de ces interventions, le grand public a été également sensibilisé à la richesse et à la fragilité de l’environnement marin et côtier. Les intervenants ont notamment souligné l’importance des mers et des océans dans la règlementation du climat et appelé à rendre compte de ces questions dans le débat sur le changement climatique.
« Il faut complètement changer les modèles de nos sociétés. Nous devons vivre comme ces fourmis qui, malgré leurs nombreuses fourmilières, ne dégradent pas la nature », a conclu le plus jeune intervenant, Ismaïl Ouazzani. En dépit de son jeune âge, cet élève de quatrième au lycée Louis Matignon a impressionné par son esprit vif et sa compréhension des questions abordées lors de la conférence à laquelle il avait pris part. Aux côtés de grands experts comme Gilles Bœuf, ancien président du Museum d’Histoire naturelle de Paris, ou encore Pierre Caye, directeur de recherche au CRSS.
Il est à rappeler que cette quatrième édition du Forum de la mer est marquée par la présence de plusieurs personnalités qui ont participé à la COP 21 tenue à Paris. Ce qui est bénéfique pour le Forum qu’apprécie avec modestie son fondateur, Mehdi Alaoui Mdaghri. Ce dernier a, en effet, confié à Libé que toutes ces personnalités ont une certaine expérience avérée qui aidera le forum à avancer sur bien de questions.
Par ailleurs, a-t-il ajouté, « elles vont nous dire comment nous pouvons intervenir, ce que l’on peut proposer de concret pour la COP22, sachant qu’on participera en tant que Forum de la mer aux travaux de ce grand rendez-vous et qu’on entreprendra plusieurs actions de sensibilisation».
Soulignons enfin que le vernissage de l’exposition « Le climat change. Et la mer ? » a eu lieu juste après à l’Institut français d’El Jadida et que la clôture de cette édition interviendra ce week-end, dimanche 8.
Des échanges et débats très instructifs sur les préoccupations environnementales actuelles et futures ont dominé cette journée, dans la sérénité et la rigueur imposées par les thématiques abordées lors de cette rencontre internationale.
Deux ateliers et deux conférences ont ponctué cette journée qui a vu se succéder une vingtaine d’intervenants. Ces derniers ont partagé leurs points de vue sur les questions en rapport avec les mers et les océans et formulé des vœux pour l’avenir de l’humanité.
Experts, universitaires, responsables d’institutions publiques et privées, acteurs associatifs et même un élève ont animé les différents débats prévus à cette occasion. Articulés autour des thématiques à l’ordre du jour, ceux-ci ont notamment porté sur l’urgence de changer nos modèles économiques, nos façons d’échanger et nos modes de pensée.
Le moins qu’on puisse dire, c’est que les intervenants ont fait preuve de pédagogie, expliquant devant un public nombreux et curieux la situation dans laquelle se trouveraient demain les mers et les océans si des efforts n’étaient pas faits.
Les communications de cette journée ont aussi permis à l’assistance de se faire une idée sur les études et les expériences menées à travers le monde pour mieux comprendre l’océan et surtout mesurer les dangers que court l’humanité faute d’attitude responsable.
Lors de ces interventions, le grand public a été également sensibilisé à la richesse et à la fragilité de l’environnement marin et côtier. Les intervenants ont notamment souligné l’importance des mers et des océans dans la règlementation du climat et appelé à rendre compte de ces questions dans le débat sur le changement climatique.
« Il faut complètement changer les modèles de nos sociétés. Nous devons vivre comme ces fourmis qui, malgré leurs nombreuses fourmilières, ne dégradent pas la nature », a conclu le plus jeune intervenant, Ismaïl Ouazzani. En dépit de son jeune âge, cet élève de quatrième au lycée Louis Matignon a impressionné par son esprit vif et sa compréhension des questions abordées lors de la conférence à laquelle il avait pris part. Aux côtés de grands experts comme Gilles Bœuf, ancien président du Museum d’Histoire naturelle de Paris, ou encore Pierre Caye, directeur de recherche au CRSS.
Il est à rappeler que cette quatrième édition du Forum de la mer est marquée par la présence de plusieurs personnalités qui ont participé à la COP 21 tenue à Paris. Ce qui est bénéfique pour le Forum qu’apprécie avec modestie son fondateur, Mehdi Alaoui Mdaghri. Ce dernier a, en effet, confié à Libé que toutes ces personnalités ont une certaine expérience avérée qui aidera le forum à avancer sur bien de questions.
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