Autres articles
-
L'Obélisque de Buenos Aires doté d'un ascenseur
-
Les 10% les plus riches responsables de deux tiers du réchauffement climatique
-
L'iboga, plante sacrée au Gabon et remède ancestral convoité
-
A la frontière indo-pakistanaise, la bataille du chapardage des pigeons
-
Découverte d’une molécule qui désarme les bactéries

Devenue un véritable enjeu de santé publique, la maladie d'Alzheimer fait aujourd'hui l'objet de nombreuses recherches à travers le monde. Des travaux qui apparaissent cruciaux tandis que les spécialistes prédisent une sérieuse hausse du nombre de malades au cours des prochaines années. Ainsi, une nouvelle étude publiée lundi aux Etats-Unis révèle qu'un marqueur pourrait permettre de prédire l'évolution de la maladie une fois celle-ci diagnostiquée.
En effet, des chercheurs de la faculté de médecine de l'université Saint-Louis ont découvert que la présence d'une protéine appelée VILIP-1 en quantité élevée dans le liquide céphalo-rachidien était liée à une détérioration plus rapide des capacités mentales. Une observation faite chez 60 malades atteints d'Alzheimer qui n'étaient au départ qu'à un stade précoce de la maladie mais qui ont ensuite connu, au cours des années suivantes, un déclin plus rapide que chez d'autres patients.
"VILIP-1 paraît être un très bon indicateur des dommages subis par les cellules cérébrales résultant de la maladie d'Alzheimer", souligne Rawan Tarawneh, professeur adjointe de neurologie qui travaille désormais à l'Université de Jordanie et auteure principale des travaux parus dans la revue Neurology. Mieux encore, les chercheurs estiment que ce marqueur pourrait être potentiellement supérieur à tous ceux utilisés jusqu'à présent pour prédire la progression d'Alzheimer.
En effet, des chercheurs de la faculté de médecine de l'université Saint-Louis ont découvert que la présence d'une protéine appelée VILIP-1 en quantité élevée dans le liquide céphalo-rachidien était liée à une détérioration plus rapide des capacités mentales. Une observation faite chez 60 malades atteints d'Alzheimer qui n'étaient au départ qu'à un stade précoce de la maladie mais qui ont ensuite connu, au cours des années suivantes, un déclin plus rapide que chez d'autres patients.
"VILIP-1 paraît être un très bon indicateur des dommages subis par les cellules cérébrales résultant de la maladie d'Alzheimer", souligne Rawan Tarawneh, professeur adjointe de neurologie qui travaille désormais à l'Université de Jordanie et auteure principale des travaux parus dans la revue Neurology. Mieux encore, les chercheurs estiment que ce marqueur pourrait être potentiellement supérieur à tous ceux utilisés jusqu'à présent pour prédire la progression d'Alzheimer.