Autres articles
-
Présentation de l’ouvrage “Les nationalistes marocains au XXe siècle : articulation organique entre le politique et le social”
-
La première salle de cinéma à Azilal ouvre ses portes
-
Une 19ème édition sous le signe du soufisme
-
Présentation à Paris de la 16ème édition du Festival de Fès de la culture soufie
-
“Latif Lahlou: 60 ans de cinéma”, nouvel ouvrage de l’Association Marocaine des Critiques de Cinéma
"Avec la foi en Dieu, tous les espoirs sont permis", a affirmé, samedi à Rabat, le chanteur ivoirien de reggae Alpha Blondy qui participait à la 16ème édition du Festival Mawazine rythmes du monde.
"Quand tu mets ta foi en Dieu, tu ne seras jamais déçu", a indiqué, en guise de conseil aux jeunes artistes qui peinent à percer, la légende qui compte plus de trente ans de carrière, lors d'une conférence de presse avant son concert prévu samedi soir sur la scène Bouregreg.
"Quand je regarde le monde, je suis très fier de Dieu", a-t-il dit, avouant qu'il ne fait que diffuser ce que "l'Inspirateur Suprême m'a permis de transmettre".
S'exprimant au sujet de son concert prévu ce soir, le chanteur ivoirien a expliqué que "tous les ingrédients sont réunis pour que la fête soit belle", précisant qu'il a soigneusement sélectionné les chansons qu'il compte reproduire ce soir d'albums issus de différentes périodes de sa longue carrière, dont les célèbres "Sebe Allah Y'E" et "Jerusalem".
L'artiste africain s'est dit "très honoré d'être invité à ce grand Festival Mawazine", ajoutant que chacune de ses visites au Maroc est "un véritable bonheur".
Interrogé sur ses goûts musicaux, il a révélé qu'il n'était pas prisonnier d'un genre musical en particulier, indiquant qu'il aimait tout autant écouter Richard Clayderma, Natasha Atlas ou du heavy metal.
La signature Alpha Blondy est reconnaissable entre toutes : du reggae à la sauce africaine chanté en français, en anglais et en dialectes locaux, des textes engagés et significatifs prônant liberté, unité et amour… Depuis ses débuts dans les années 80 avec le hit panafricain Brigadier Sabari, le chanteur ivoirien n'a eu de cesse de livrer à ses fans des albums coups de poing, comme le disque culte Jérusalem, et des compositions personnelles qui racontent l’Afrique et le monde à travers le regard d’un homme engagé et libre.
"Quand tu mets ta foi en Dieu, tu ne seras jamais déçu", a indiqué, en guise de conseil aux jeunes artistes qui peinent à percer, la légende qui compte plus de trente ans de carrière, lors d'une conférence de presse avant son concert prévu samedi soir sur la scène Bouregreg.
"Quand je regarde le monde, je suis très fier de Dieu", a-t-il dit, avouant qu'il ne fait que diffuser ce que "l'Inspirateur Suprême m'a permis de transmettre".
S'exprimant au sujet de son concert prévu ce soir, le chanteur ivoirien a expliqué que "tous les ingrédients sont réunis pour que la fête soit belle", précisant qu'il a soigneusement sélectionné les chansons qu'il compte reproduire ce soir d'albums issus de différentes périodes de sa longue carrière, dont les célèbres "Sebe Allah Y'E" et "Jerusalem".
L'artiste africain s'est dit "très honoré d'être invité à ce grand Festival Mawazine", ajoutant que chacune de ses visites au Maroc est "un véritable bonheur".
Interrogé sur ses goûts musicaux, il a révélé qu'il n'était pas prisonnier d'un genre musical en particulier, indiquant qu'il aimait tout autant écouter Richard Clayderma, Natasha Atlas ou du heavy metal.
La signature Alpha Blondy est reconnaissable entre toutes : du reggae à la sauce africaine chanté en français, en anglais et en dialectes locaux, des textes engagés et significatifs prônant liberté, unité et amour… Depuis ses débuts dans les années 80 avec le hit panafricain Brigadier Sabari, le chanteur ivoirien n'a eu de cesse de livrer à ses fans des albums coups de poing, comme le disque culte Jérusalem, et des compositions personnelles qui racontent l’Afrique et le monde à travers le regard d’un homme engagé et libre.