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Ambiance bon enfant. La grande salle du lycée Bni Zoli (12 km de Zagora) était archicomble mardi dernier (21 octobre 2014). Et pour cause, les jeunes lycéens attendaient la projection du film «Road to Kaboul» (La route vers Kaboul). La présence de l’une des stars du film, en l’occurrence Rabiî El Kati, a donné un ton spécial à cette projection.
«Je suis heureux de constater cette ambiance et de voir projeter un film dans une région aussi lointaine, puisqu’il est essentiel d’apprendre aux jeunes à visionner des films et s’habituer à la culture cinématographique, pour ne pas perdre notre grand public… un film est certainement réalisé pour être vu par le maximum de gens », dit El Kati. Il faut dire que le film de Brahim Chkiri, tourné en partie dans la région de Ouarzazate, a une grande audience auprès du public.
Bien avant de suivre ce film au joli casting avec Youness Bouab, Aziz Dadès, Rafik Boubkar, Amin Naji… le public avait eu droit de faire la connaissance en direct d’une pléiade de stars, telles que Abdelkader Moutaâ, Naima Ilyas et Amal Tammar.
« Nous voulons rapprocher le cinéma, de ceux et celles qui n’ont pas la chance de voir des films et les sensibiliser aux valeurs morales à travers l’image », déclare à Libé, Naïma Senhadji, responsable de l’association.
Projeté dans le cadre du partenariat entre le Film transsaharien et l’Association Cinéma pour tous et partout, ce film raconte l’histoire de quatre jeunes chômeurs désireux de quitter le Maroc, à cause du harcèlement que leur fait subir un ancien flic véreux. Leur objectif est simple : immigrer vers la Hollande. Mais, ils se retrouvent par un pur hasard à Kaboul. Sur un ton humoristique, les personnages vont vivre des évènements étranges.
«Je suis heureux de constater cette ambiance et de voir projeter un film dans une région aussi lointaine, puisqu’il est essentiel d’apprendre aux jeunes à visionner des films et s’habituer à la culture cinématographique, pour ne pas perdre notre grand public… un film est certainement réalisé pour être vu par le maximum de gens », dit El Kati. Il faut dire que le film de Brahim Chkiri, tourné en partie dans la région de Ouarzazate, a une grande audience auprès du public.
Bien avant de suivre ce film au joli casting avec Youness Bouab, Aziz Dadès, Rafik Boubkar, Amin Naji… le public avait eu droit de faire la connaissance en direct d’une pléiade de stars, telles que Abdelkader Moutaâ, Naima Ilyas et Amal Tammar.
« Nous voulons rapprocher le cinéma, de ceux et celles qui n’ont pas la chance de voir des films et les sensibiliser aux valeurs morales à travers l’image », déclare à Libé, Naïma Senhadji, responsable de l’association.
Projeté dans le cadre du partenariat entre le Film transsaharien et l’Association Cinéma pour tous et partout, ce film raconte l’histoire de quatre jeunes chômeurs désireux de quitter le Maroc, à cause du harcèlement que leur fait subir un ancien flic véreux. Leur objectif est simple : immigrer vers la Hollande. Mais, ils se retrouvent par un pur hasard à Kaboul. Sur un ton humoristique, les personnages vont vivre des évènements étranges.